Croatia Private Tours: Uncover Historical Gems and Scenic Wonders

20-08-2024
von GuidesFinder Team

Photo by Diego F. Parra

When it comes to Croatia, a whole range of very pleasant associations comes to mind. For some, it is the crystal clear waters of the Adriatic, others are impressed by its centuries-old sights, and some cannot forget the taste of truffles, pršrut and local wine.

The vast majority of the population of the coastal regions of Croatia works in the tourism industry: in the catering industry, in the hotel business, and also organizes private tours in Croatia. From luxury private tours to private tours to national parks and private city tours - the choice is truly impressive.

Come with us and let's try to figure out together why this truly wonderful land is so popular among tourists from all over the world, leaving such a rich aftertaste for its guests.

Efficient Tips for Finding a Private Tourist Guide: Lessons from Experience

25-07-2024
von GuidesFinder Team

Efficient Tips for Finding a Private Tourist Guide: Lessons from ExperiencePhoto by Valentin Antonucci

Mass tours are gradually becoming a thing of the past, giving way to exclusive tourism arrangements. It can now be confidently said that the most interesting and unusual tours are organized by local travel guides. This is due to their high mobility and flexibility, as well as their willingness to tailor the itinerary to their clients' interests. A colorful story about a place of interest, told by a local guide who is truly passionate about his/her work, is a once in a lifetime experience worth having.

La fabuleuse histoire du gardien du cimetière de la Recoleta

20-06-2024
von Max Pilares

C’est l’histoire merveilleuse de David Alleno, gardien d’origine italienne du très chic cimetière de la Recoleta à Buenos aires. Nous sommes en 1881, Davil Alleno commence à 16 ans a travaillé dans ce cimetière, il est charge de l’entretien et des différents travaux de maintenance. Le jeune David est passionné par son travail et son rêve est d’avoir son propre caveau dans ce cimetière. Il faut savoir que le cimetière de la Recoleta est exclusivement dédié à la bourgeoisie locale car le prix des parcelles est très élevé. David n’est pas découragé, au contraire il se met à economiser sous après sous, peso après peso, se privant même de manger. Après quelques années d’économie, il arrive enfin à réunir la somme nécessaire et s’achète sans tarder une parcelle de terre dans le cimetière, il construit de ses mains un caveau sans l’aide de personne. David n’a jamais fondé de famille et vivait très modestement mais la chance va enfin lui sourire ! Sa grande sœur gagne le gros lot à la loterie nationale et choisi de partager ses gains avec toute sa famille. David reçoit une part des gains et aussitôt s’achete un billet de bateau (et oui les vols Air France n’existe pas encore) destination de Gêne en Italie. Labas il retrouve un sculpteur nommé Achille Canessa, un vieil ami de son père. Il lui confie une photo de lui prise au cimetière et en tenue de travail et le charge de la réalisation d’une statue grandeur réel en respectant scrupuleusement les éléments de la photo . En 1910, David embarque pour Buenos aires avec l’emcombrante statue à son effigie. Une fois arrivé sur place, il informe la direction du cimetière qu’il renonce à son poste de gardien. Peut-être était-il pressé d’inaugurer son caveau ? David rentre chez lui et là c’est le drame, il se suicide! Les circonstances du drame ne sont encore bien connues mais je vous invite à réserver une belle journée de visite avec moi pour connaitre la suite !! maxguideargentine@gmail.com

L’histoire folle du café de los Angelitos à Buenos aires

20-06-2024
von Max Pilares

Je vais vous raconter l’hisoire d’un des plus fameux cafés de Buenos aires, j’ai nommé le café de los Angelitos dans le quartier de Balvarena à l’angle de la rue Rincon et de l’avenue Rivadavia. Ce café me tient à cœur pour plusieurs raisons, déjà j’ai habité à 3 pâtés de maison de ce lieu riche en histoire et je passais devant tous les jours, quelques fois juste pour le plaisir de passer devant

L’Obeslisco de Buenos aires

20-06-2024
von Max Pilares

J’ai pour habitude de commencer les visites de Buenos aires par l’Obelisco, c’est une place symbolique de la ville. La première question que me pose mes clients est » Max dit nous, cet obélisque à la même symbolique que celui de Paris, il y a un lien entre les deux? ». Bon, celui de Paris est très différent et bien sûr n’ont pas la même histoire. Celui de Buenos aires est récent, sa construction a commencé le 20 mars 1936 et on l’inaugura le 23 mai 1936, et oui seulement 1 petit mois a suffi pour le construire. La ville voulait batir un symbole pour fêter les 400 ans de la ville. Il faut savoir qu’on a dû démolir l’église San Nicolas de Bari pour construire l’Obelisque, or c’est justement au sommet de cette église qu’on a hissé pour la première fois le drapeau argentin en 1816, d’ailleurs cet élément est inscrit sur la partie nord de l’Obelisco. Encore un paradoxe argentin, on démoli une église importante avec un symbole fort mais on donne son nom au quartier, il s’appelle maintenant San Nicolas. L’emplacement de cet Obélisque est stratégique, il est situé sur la fameuse avenue de 9 de Julio, l’avenue la plus large du monde selon les porteños non loin de la belle avenue Corrientes, le Teatro Colon n’est qu’à quelques pas.

Le Palacio Barolo, un bijou au cœur de Buenos aires

20-06-2024
von Max Pilares

Si on parlait du plus bel édifice de Buenos aires ? J’ai nommé le Palacio Barolo de Buenos aires ! Comment ne pas rester en admiration devant cet édifice qui reçoit mille et un secret. Tout commence avec un certain Luis Barolo, débarqué son Italie natale à la fin du XIXe siècles. Ce cher Luis a une idée de génie qui consiste à importer des machines à filer le coton, il est le premier à le faire. Il fait rapidement fortune en transformant le coton (le nord de l’Argentine est riche en coton, région frontalière avec la Paraguay) et en exportant le textile produit vers l’Europe ! Bingo, c’est le commerce du siècle et le début d’une belle idée qui se met à germer dans la tête de Luis. Ce brillant personnage a souvent le mal du pays et souhaite amener l’Italie à Buenos aires ! Comment faire ? C’est simple ! Il décide de construire l’édifice le plus haut du pays et d’Amérique du Sud et cerise sur le gâteau il porterait son nom. Il souhaite bien évidemment une touche italienne à ce beau projet. En 1910, Luis contacte un certain Mario Palanti, architecte italien comme lui, venu de Milan quelques années avant. cet architecte Italien avait comme objectif de travailler avec les riches immigrants italiens installés en Argentine et en Urugay. L’alchimie entre les deux hommes va être instantanée ! La construction du Palacio débute en 1919 et se termine en ..... devinez en combien de temps l’édifice sera construit ? euh 50 ans ? non! 25 ans alors ? Encore perdu ! En seulement 4 ans !! Et oui, il n’aura fallu que 4 ans pour terminer ce chef d’œuvre architecturale d’inspiration Art Nouveau et éclectique, avec des réminiscences néogothiques. Pourquoi en si peu de temps ? Tout simplement car l’argent coulait à flot ! Luis Barolo avait énormément de moyens financiers et importait la plupart des matériaux d’Europe, notamment le fameux marbre de Carrare en Italie.

Le café Tortoni de Buenos aires

20-06-2024
von Max Pilares

Lorsque j’organise une visite la ville de Buenos aires, je ne n’oublie jamais de faire une petite halte au fameux café Tortoni avec mes clients. C’est une étape obligatoire ! Mais problème ... il y a souvent des heures d’attente avant de franchir la porte du Tortoni, ce lieu est vraiment victime de son succès . Alors certains de mes clients qui vont lire cet article vont peut-être rire et dire « mais non Max avec toi on ne fait pas la queue » ! Et oui c’est vrai, j’ai la chance de connaître les bonnes personnes

Museums in Pretoria: Voortrekker Monument

11-06-2024
von Mary-Anne Goodman

The Voortrekker Monument is a monument in the city of Pretoria, South Africa. The massive granite structure, built to honour the Voortrekkers who left the Cape Colony between 1835 and 1854, was designed by the architect Gerard Moerdijk who had the idea to design a "monument that would stand a thousand years to describe the history and the meaning of the Great Trek to its descendants"[1]. It can be seen from almost any location in the city, as it is seated on a hilltop.

The two main points of interest inside the building are the Historical Frieze and the Cenotaph.

Historical Frieze

The main entrance of the building leads into the domed Hall of Heroes. This massive space, flanked by four huge arched windows made from yellow Belgian glass, contains the unique marble Historical Frieze which is an intrinsic part of the design of the monument. It is the biggest marble frieze in the world. The frieze consists of 27 bas-relief panels depicting the history of the Great Trek, but incorporating references to every day life, work methods and religious beliefs of the Voortrekkers. The set of panels illustrate key historical scenes starting from the first voortrekkers of 1835, up to the signing of the Sand River Convention in 1852. In the centre of the floor of the Hall of Heroes is a large circular opening through which the Cenotaph in the Cenotaph Hall can be viewed.

Cenotaph

The Cenotaph, situated in the centre of the Cenotaph Hall, is the central focus of the monument. In addition to being viewable from the Hall of Heroes it can also be seen from the dome at the top of the building, from where much of the interior of the monument can be viewed. Through an opening in this dome a ray of sunlight shines at twelve o'clock on 16 December annually, falling onto the centre of the Cenotaph, striking the words 'Ons vir Jou, Suid-Afrika' (Afrikaans for 'We for Thee, South Africa'). The ray of light is said to symbolise God's blessing on the lives and endeavours of the Voortrekkers. December 16, 1838 was the date of the Battle of Blood River, commemorated in South Africa before 1994 as the Day of the Vow.

Museums in Pretoria: Paul Kruger House Museum

11-06-2024
von Mary-Anne Goodman

PAUL KRUGER HOUSE MUSEUM


Stephanus Johannes Paulus Kruger (10 October 1825 – 14 July 1904), better known as Paul Kruger and affectionately known as Uncle Paul (Afrikaans: "Oom Paul") was State President of the South African Republic (Transvaal). He gained international renown as the face of Boer resistance against the British during the South African or Second Boer War (1899–1902). On 30 December 1880, at the age of 55, Kruger was elected President of the Transvaal. One of his first goals was the revision of the Pretoria Convention of 1881; the agreement between the Boers and the British that ended the First Boer War. He again left for Britain in 1883, empowered to negotiate with Lord Derby. Kruger and his companions also visited the Continent and this became a triumph in countries such as Germany, Belgium, the Netherlands, France and Spain. In Germany, he attended an imperial banquet at which he was presented to the Emperor, Wilhelm I, and spoke at length with Bismarck.

In 1898, Kruger was elected President for the fourth and final time.

On 11 October 1899, the Second Boer War broke out. On 7 May the following year, Kruger attended the last session of the Volksraad, and he fled Pretoria on 29 May as Lord Roberts was advancing on the town. For weeks he either stayed in a house at Waterval Onder or in his railway carriage at Machadodorp in the then Eastern Transvaal, now Mpumalanga. In October, he left South Africa and fled to Mozambique. There he boarded the Dutch warship Gelderland, sent by Queen Wilhelmina of the Netherlands, which had simply ignored the British naval blockade of South Africa. He left his wife, who was ill at the time, and she remained in South Africa where she died on 20 July 1901.

Kruger went to Marseille and from there to Paris. On 1 December 1900 he travelled to Germany, but Kaiser Wilhelm refused to see him. From Germany he went to The Netherlands, where he stayed in rented homes in Hilversum and Utrecht. He also stayed twice in Menton, France (Oct 1902 to May 1903 and Oct 1903 to May 1904) [6] before moving to Clarens, Switzerland, where he died on 14 July 1904. His body was embalmed by Prof. Aug Roud and first buried on 26 July 1904 in The Hague, Netherlands. After the British government gave permission he was reburied [7] on 16 December 1904 in the Heroes Acre of the Church Street cemetery, Pretoria.

Places to Visit in Pretoria: Cullinan Premier Diamond Mine

11-06-2024
von Mary-Anne Goodman

The Premier Mine is an underground diamond mine owned by Petra Diamonds. It is situated in the town of Cullinan, 40 kilometres east of Pretoria, Gauteng Province, South Africa. Established in 1902, it was renamed the Cullinan Diamond Mine in November 2003 in celebration of its centenary. The mine rose to prominence in 1905, when the Cullinan Diamond — at the time the largest gem diamond ever — was discovered here. It is also the only significant source of blue diamonds in the world.

De Beers, the world's biggest diamond producer, said on Thursday 22 November 2007 it had sold its historic Cullinan mine to a consortium led by Petra Diamonds.

The Cullinan Diamond is the largest rough gem-quality diamond ever found, at 3,106.75 carats (621.35 g).[1] It was found by Frederick Wells, surface manager of the Premier Diamond Mining Company in Cullinan, Gauteng, South Africa, on January 25, 1905. The stone was named after Sir Thomas Cullinan, the owner of the diamond mine.

In May 2008, a sparkling shield-shaped 101.27 carats (20.25 g) diamond (about the size of a pingpong ball) mined from the Premier Mine sold for more than $6.2 million at Christie's in Hong Kong. Cut from a 460 carats (92 g) rough, the shield-shaped gem boasts 92 brilliant facets. While internally flawless, the stone has a slight imperfection on the surface that is imperceptible to the human eye, the auction house said. It is the largest colourless diamond to appear on the auction market in the last 18 years, Christie's said. Only three colourless diamonds of more than 100 carats (20 g) have appeared at auction. All were sold in Geneva. Naming rights were granted to the new owner.[1]

In September 2009, a 507-carat (101 g) diamond was found, and is ranked as one of the 20 biggest high quality diamonds ever discovered.[2][3] Petra Diamonds sold the 507-carat (101 g) diamond for $35.3 million on February 26, 2010, breaking a record as the highest price ever paid for a rough diamond

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